Chapitre I : Et l'Aube se leva ...
Alors que les ruelles vides de Soldun étaient silencieuses, Isaaruh vînt perturber se silence. Un silence qui ferrait peur a une fillette, un silence si infini que l'on si perdrait. Isaaruh marchait. Enjambant les marches montantes de la citée. Les grincements effectués par les pas d'Isaaruh émieraient des échos de tout pars dans la citée vide, Soldun. Arrivé devant un gigantesque édifice, Isaaruh s'arrêta. Face au bâtiment. Ses yeux s'émerveillèrent en redécouvrant l'Hymne de Soldun :
<<-Fleur qui pique, Fleur qui saigne, Fleur qui brûle, ... Fleur d'amour...>>
Récitant ses mots dans sa tête, Isaaruh murmura une incantation ancienne :
<<-Biwak monomus vanderlates kisfiterelos...>> La prononciation résonna. Mais ce n'était rien face à l'énorme vacarme causé par l'ouverture de l'immense porte du mystérieux bâtiment.
Isaaruh pénétra dans la salle obscure.
*
Il était tard, le soleil était déjà couché depuis plusieurs heures, alors qu'Isaaruh était assis sur une margelle, des pas résonnèrent. Un homme arriva, capuche de marc hombre, démarche de voleur, ce dernier dit:
<<-Heureux de te revoir Isaaruh ! S'écria l'inconnu.
-De même cher Devorn, cela faisait si longtemps ! dit Isaaruh.
-C'est le moment...>>Ces derniers mots étaient pour le moins appuyer par le dénommé Devorn.
Isaaruh s'avança vers une sorte de table en pierre, et ensemble, Isaaruh et Devorn posèrent leurs mains simultanément sur une marque rouge inscrite à la surface de la table.
A se moment là, des esprits, des danseurs, des goûteurs, des guerriers, des taverniers, toutes sorte de personnalités s'éclipsèrent dans la citée.
Chapitre V : Douleurs
*
La citée reprit vie sous le regarde exalté de Devorn et Isaaruh ...
Chapitre II : Souvenirs
Après la râpure avec le silence, la cité ayant reprit sa joie de vivre, Isaaruh décida d'arpenter les rues comme autrefois. Non loin de là, un mur, un mur qui l'appelait, ce mur si, si familier, était pour lui comme une enfance oubliée ou plutôt perdue.
Pensant rêver il s'approcha tout de même de l'édifice. Au contact de sa surface rappeuse, un étrange frisson parcourut le corps d'Isaaruh. Il détourna légèrement les yeux du mur, ses yeux se captèrent a proximité du mur, une porte. Peu a peu dans ses souvenirs, rejaillissait son enfance, cette enfance à la fois si lointaine et si proche. Un vague sourire se lisait sur les lèvres du rêveur. Il décide de poursuivre sa route.
*
Plus tard, lorsque le crépuscule était arrivé à son terme, Isaaruh arriva devant une porte taillé dans un bois exotique. Par curiosité il ouvrit et franchit la porte. Découvrant ainsi une salle entièrement marbré er argenté. La salle qui autrefois s'appelait bibliothèque était devenus le repaire du vent et du silence. Après avoir parcourut lentement les différents étalages de livres, il s'arrêta devant un miroir accroché sur le mur. S'approchant instinctivement de celui ci, découvrant ses reflets si doux et si réalistes, il fit glisser sa main de l'ornure teinte d'argent jusqu'a la glace. Au contact immédiat de la glace, Isaaruh se retrouva ailleurs, pourtant en lui il savait qu'il n'avait pas bougé, il avait comprit.
Chapitre III : Incompréhension
<<-Partez ! Vite ! la voix avait résonnée.
-Tavan arrive, la mort avec lui ! Prend ceci et cours, cours le plus loin possible, je vous ferrais signe quand je reviendrais...>>
La scène c'était passé sous les yeux d'Isaaruh. Il se trouvait dans une bibliothèque, ici, une femme et son bébé, un homme. La femme et l'homme lui semblaient si familier. A vrai dire il connaissait leurs voix, du moins la reconnaissait, c'était ses parents, et l'enfant dans les bras de la femme c'était lui ! Une vague qui ne dura qu'une seconde s'écroula. Cette vague symbolisait l'aboutissement, il n'était plus aveugle en regardant sont passé, la lumière s'éclaira.
*
Après être retourné dans "son" Monde, un nom chevauchait ses esprits : Tavan.
Qui était se Tavan? Que faisait-il pour faire prendre la fuite a sa mère? Pourquoi son père restait? Quel sort lui infligea ce dénommé Tavan?
Toutes ces questions rendaient Isaaruh fou. Il rentra avec peine dans ses appartements. Le lendemain, Isaaruh ne sortit pas de son lit avant que le repas du midi soit servit, se tirant de force de son lit, il s'habilla puis gagna le banquet. Là, juchaient une vingtaine de personne, toutes aussi grotesques dans leurs façon de parler que de manger. Isaaruh s'assit a côté d'un jeune homme qui ne jugeait sans doute pas les conversations assez intéressantes pour s'incruster parmi les orateurs. Il se contentait de manger. Lorsque Isaaruh prix une cuisse de volaille, le jeune homme lui glissa un mot a l'oreille :
<<-Les réponses que tu souhaites sont cachées, la ou seul toi peu les atteindre, elles sont dans ton cœur...Néanmoins je peux t'aider a les trouver et les comprendre>>. Puis il but un verre de vin, s'en allant pars la suite dans les ruelles profondes de la citée. Isaaruh eu envie de le suivre, mais il préféra finir son repas.
Chapitre IV : La Voie
Le repas finit, il décida de retrouvé l'homme qui l'avait engagé sur la voie. Marchand depuis maintenant une heure, Isaaruh s'arrêta dans une Taverne, La Saignée. A l'intérieur, une immonde odeur envahissait la salle. Une odeur d'alcool, de fumé, de tout ce qui n'est pas réellement recommandable. Il s'installa a une table encerclé par les différents pans de mur. Un vieil homme arriva près de lui. Il ouvrit la bouche sans laissé un mot en sortir. Isaaruh fixait la silhouette d'un homme a l'entré. C'était lui. Le tavernier lui parla mais il fit mine de ne pas entendre. Il se précipita vers le jeune homme.
<<-Ah enfin ! Ou étiez vous passer?
-J'ai fais ce que j'avais a faire.
-Et qu'aviez vous a faire? le reprit Isaaruh
-Des choses>>.
L'homme ne voulais sans doute ne pas donner plus d'information a Isaaruh malgré que le peu qui lui donna resta maigre. Isaaruh ne préféra pas le questionner d'avantage. Ils entrèrent peu après dans une maison au regard noir et sinistre. A l'intérieur il n'en fut rien, les murs étaient décorés somptueusement, le sol était recouvert d'un tapis représentant le Dieu Donblas. Isaaruh prit la parole :
<<-Avant tout comment vous nommez vous?
-A quoi te servirais-tu de le savoir? Lui rétorqua -t-il
-J'insiste...
-Dans ce cas, mon nom est Khalek, ma famille vient du Désert, j'étais nomade jusqu'a ce que la cité reprenne vie. Quand a toi tu te nommes Isaaruh, tu ne viens guère de loin, car ta résidence n'est autre que l'Aube.
-...
-Avant que nous ne commencions, je tiens a t'expliquer quelques petites choses, la voie que nous allons arpenter est celle du cœur, la plus longue et la plus sentimentale. Ceci serra douloureux. Es-tu toujours sûr de vouloir progresser sur la voie?
-Oui.
-Alors ne tardons pas ! >>.
Voila, je crois que j'ai corrigé toutes les fautes!!!
^-^